Mon histoire – Page 2


Deuxième incident

À la fin de mes 17 ans, par une soirée d’automne, j’avais donné rendez-vous à une amie d’école dans le parc de Marchienne-au-Pont pour lui demander de parler de moi à sa meilleure amie.

Ce soir-là, assis sur les bancs du parc, nous avons été témoins, comme des milliers d’autres personnes, d’un étrange phénomène dans le ciel de Charleroi.

Cet événement, qui fait encore parler de lui 30 ans plus tard, reste très controversé dans les médias belges, qui continuent de nier la vérité et de tenter de dissimuler l’affaire.

Malgré tout, des milliers de personnes ont vu ce phénomène, et le lendemain, c’était le sujet de toutes les conversations à l’école.
Article de presse en flamand Article de presse en Français

Je n’ai jamais parlé à personne de ce qui s’est passé après ce rendez-vous au parc de Marchienne-au-Pont, ni à mes parents, ni à mes proches, ni à mes amis, et encore moins à l’école. J’ai écouté les gens et, selon une étude de réaction, la plupart des gens n’étaient pas prêts à parler d’aliens ou d’ovnis.
Tout le monde avait vu ce phénomène, mais personne ne voulait reconnaître la possibilité d’un ovni.

Je profite de cet article édité par un journaliste flamand pour expliquer ce qui s’est réellement passé ce jour-là.
De mon côté, après en avoir discuté avec mon amie, je confirme la vérité : il y avait effectivement une vague de trois ovnis de forme triangulaire, de couleur foncée, avec une lumière à chaque extrémité et une lumière orange au centre.

Cependant, ce n’est pas de ces ovnis dont je vais parler, mais d’un autre ovni encore plus impressionnant.

Ce fameux soir, en disant au revoir à mon amie, mes sens étaient en émoi et je ne pouvais pas rentrer tout de suite chez moi, dans le village voisin.
Quelque chose de familier m’attirait vers le stade de football juste à côté du parc, comme un aimant. Sans trop comprendre pourquoi, une prémonition me poussait à aller vers ce stade, déjà éclairé par des dizaines de projecteurs.

Me voici donc sur le stade, sur le terrain de football, avec une sensation qui me serre la gorge et une atmosphère pesante de magnétisme. Arrivé sur le gazon, je me dirige vers le centre du terrain.

Mon intuition me disait que j’allais découvrir quelque chose. Et ce fut le cas : en plein centre du terrain, un ovni circulaire s’est matérialisé, se définissant très rapidement comme un objet physique solide et palpable.

Cet ovni était nettement plus large que le centre du terrain délimité par des lignes blanches.

Voici a peu de chose près l’ovni qui se présentera devant mes pas.

Je n’aurai aucune crainte en assistant à cet événement, et je resterai sur place, attiré par une sensation de familiarité et de sécurité.

L’OVNI mettra 20 secondes pour se formaliser et se matérialiser complètement. Une lumière fine apparaîtra sous la coque de l’OVNI, et un plateau descendra dans un flux de lumière délicate. Sur ce plateau, une silhouette commencera à se dessiner.

La lumière du sas s’estompera, révélant clairement un individu d’environ 180 cm de haut, très mince, avec un visage sévère au premier regard. Cet individu portait une tenue moulante grise et un ceinturon blanc, et avait un petit sac blanc en bandoulière.

Cette image trouvée sur internet me fait pleurer.
C’est son visage, trait pour trait, avec la même coupe de cheveux et ce même col bleu très foncé. Cela me fait plaisir de pouvoir mettre cette photo approximative sur mon blog.

Je ne fuirai pas devant lui, mais je m’avancerai vers lui comme un mécanisme inexorable.
Arrivé à une distance convenable, je lui tendrai la main pour une poignée de main.
Il refusera ce geste et me saluera en levant la main droite.

Cet individu au regard perçant et à l’allure sévère s’approche de moi aussi près que possible.

Avec une douceur infinie, il prend ma main droite, relève ma manche et pointe sur mon avant-bras un symbole stellaire : la constellation de la Lyre, formée par un ensemble de grains de beauté qui n’avaient jamais attiré mon attention auparavant.

En effleurant mon avant-bras du bout des doigts et en touchant les points délimitant la constellation de la Lyre, je recevrai un flux d’informations des plus étourdissants.
Des milliers d’images seront implantées en moi en quelques secondes, de la manière la plus douce possible.

En un instant, je recevrai ma première dose accélérée de physique, de cosmologie et d’astrophysique.
Des domaines dans lesquels, à l’époque, mes connaissances générales étaient déjà très développées naturellement.

Il remettra ma manche en place et me dira trois mots : Anastar Antarh Andharr, avec un accent et des R roulés à faire tomber les montagnes.
Il me laissera là et regagnera son OVNI pour remonter à bord.

Quand je rentrerai chez moi, ma première réaction sera : qu’est-ce que tout cela signifie et pourquoi ?

Trente ans plus tard, ma conclusion sur l’ensemble de ces événements est que ces OVNIs vus dans le ciel n’étaient pas des vaisseaux extraterrestres, mais des projets top secrets de l’armée américaine. Il s’agissait du Northrop TR-3A Black Manta, un avion furtif subsonique à configuration d’aile volante, conçu dans les années 1980.
À l’époque, beaucoup pressentaient une part de vérité à leur sujet.

La question à 30 €, pourquoi déployer ce type d’armement secret ?

Pour chercher dans une zone bien définie un véritable appareil Lyran/Vega ?

Trente ans après, avoir eu mon système immunitaire augmenté en néonatal dès mes premiers jours de vie en 1972 n’est pas le fruit du hasard.
Suite à cette intervention, je ne sais pas ce que c’est que d’être contaminé par un virus ou une bactérie, comme en témoigne mon dossier médical.

Le fait d’avoir ce type d’autodéfense fait de moi le candidat idéal pour les contacts avec les Pléiadiens, les Lyrans et les Vega.


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