EXOPLANÈTES: DES ASTRONOMES DÉCOUVRENT LES PLUS PROCHES “COUSINES” DE LA TERRE
Bien que lointaines, Kepler 438b et 442b, situées dans la constellation de la Lyre, sont les deux exoplanètes les plus semblables à la Terre jamais observées dans une “zone habitable”, révèle une étude astronomique.
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Ce n’est pas une mais bien deux planètes, qui ont été découvertes par les astronomes de l’Université de Montréal – UdeM. Une fois et demie la taille de la terre, riches en gaz et à 218 années-lumière de chez nous, celles-ci sont différentes de toutes celles connues dans notre système solaire. Cette découverte aide à mieux comprendre la diversité des planètes dans l’univers.
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Récemment, des astronomes ont fait une découverte fascinante dans la constellation de la Lyre. Grâce aux télescopes spatiaux Hubble et Spitzer, deux exoplanètes, Kepler-138c et Kepler-138d, ont été identifiées comme étant des “mondes océaniques”. Ces planètes sont principalement composées d’eau et possèdent des atmosphères épaisses de vapeur d’eau.
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Sulafat, Gamma Lyrae (γ Lyr), est une étoile géante bleue située dans la constellation nord de la Lyre .
Avec une magnitude apparente de 3,261, c’est la deuxième étoile la plus brillante de la constellation, après Véga .
Sulafat se trouve à une distance approximative de 620 années-lumière.
Il se trouve à la base du parallélogramme qui dessine le motif de la lyre céleste.
M57 figure parmi les objets les plus connus et les plus regardés par les observateurs. C’est une nébuleuse planétaire, relique d’une étoile en fin de vie dont les gaz expulsés il y a quelques milliers d’années nous apparaissent sous la forme d’un anneau remarquable.
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Beta Lyrae est un système d’étoiles binaire semi-détaché à éclipses constitué d’une étoile géante lumineuse bleue-blanche (B8II), Beta Lyrae Aa1 et d’une étoile secondaire probablement de type B, Beta Lyrae Aa2.
Les deux étoiles sont assez proches pour que la matière de la photosphère de l’une soit attirée vers l’autre, donnant aux étoiles une forme ellipsoïdale.
Beta Lyrae est le prototype de ce type de binaires à éclipse, dont les composantes sont si proches qu’elles sont déformées par leur attraction mutuelle (de manière mesurable).
Des observations du télescope James Clerk Maxwell de 1997 ont montré une région centrale brillante élongée qui atteint un maximum d’intensité à 9″ (70 UA) au nord-est de Véga.
Cette perturbation serait due soit à une perturbation du disque de poussières par une planète extrasolaire, soit à un objet en orbite entouré de poussière.
Cependant, des images des télescopes Keck ont exclu la présence d’un compagnon de magnitude supérieure ou égale à 16, ce qui correspondrait à un corps de masse supérieure à 12 fois la masse jovienne.
Les Lyrides désignent un important essaim d’étoiles filantes qui débute le 16 avril et finit le 26 avril de chaque année.
Le radiant de cet essaim se situe dans la constellation de la Lyre, son maximum d’activité a lieu le 22 avril, c’est pourquoi on le nomme aussi « Alpha Lyrides » ou « Lyrides d’avril ».
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Cette constellation a l’avantage de pouvoir se faire reconnaitre facilement.
Cela est surtout dû à sa forme qui ne trompe pas les observateurs.
Aussi, la présence de l’étoile la plus brillante de la constellation y contribue grandement.
Il s’agit de Véga, qui tend à s’associer aux deux étoiles les plus faibles de la constellation en termes de magnitude.
Véga, également appelée Alpha Lyrae (α Lyrae / α Lyr) selon la désignation de Bayer, est l’étoile la plus brillante de la constellation de la Lyre. Vue depuis la Terre, il s’agit de la cinquième étoile la plus brillante du ciel, la deuxième de l’hémisphère nord juste après Arcturus. C’est une étoile relativement proche du Soleil, à 25,04 années-lumière de celui-ci. C’est aussi, par sa luminosité intrinsèque, l’une des étoiles les plus brillantes du voisinage solaire, avec Arcturus et Sirius.
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